Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Langues
Prix
Espace Nord
-
« Une variation supérieure sur l'admirable vieux mélodrame », notait Mallarmé à propos de Pelléas, dont l'intrigue, effectivement, peut sembler bien conventionnelle : le Prince Golaud recueille à l'orée d'un bois une jeune fille dont il va faire son épouse. Mais c'est du frère de Golaud, Pelléas, que Mélisande tombe amoureuse, et le destin fatal qui pèse sur les personnages de cette pièce de théâtre les mènera inévitablement à la désolation. La fable cependant n'est ici que prétexte à dérober au silence ses secrets.
Universellement célèbres au début de ce siècle, grâce notamment à l'opéra de Debussy, les ombres de Pelléas et Mélisande nous reviennent dans leur innocence inquiète.
-
Pièce en six actes et douze tableaux, L'oiseau Bleu nous révèle une autre facette de l'oeuvre de Maeterlinck, lumineuse et onirique : deux enfants, Tyltyl et Mytyl, partent en quête de l'Oiseau Bleu, seule créature pouvant guérir une petite fille, tandis qu'autour d'eux s'incarnent les objets et les êtres. Le Pain, le Sucre, Le Lait, La Chatte et d'autres s'animent et emplissent le conte de féérie et de signification, car derrière les péripéties des jumeaux se cache une quête, celle du bonheur véritable, et un sens philosophique profond tandis que se déploie, furtive mais bien présente, toute la sagesse de l'auteur. Loin de la langueur, du pessimisme, on sent poindre dans L'oiseau Bleu tout le plaisir que Maeterlinck a pu avoir en imaginant ce monde vivant et plein de sens.
-
Pour écrire la première pièce, Michèle Fabien s'est inspirée de la période d'emprisonnement à la Bastille du marquis de Sade et pour la deuxième de Sarrazine de Balzac. La troisième pièce met en scène Charlotte, princesse de Belgique, fille de Léopold Ier, qui épousa en 1857 l'archiduc Maximilien. Après l'exécution de son mari, elle bascule dans la folie.
-
Petite trilogie de la mort : l'intruse ; les aveugles ; les sept princesses
Maurice Maeterlinck
- Espace Nord
- Espace Nord
- 19 Août 2021
- 9782875685452
Dans la salle d'un vieux château, un vieillard aveugle, entouré de sa famille, devine à des signes imperceptibles l'approche de la mort qui va frapper sa fille. Isolé par sa cécité, l'aïeul a gardé intacte son intuition. Il est le seul à pouvoir interpréter le bruissement des arbres, le silence des oiseaux et des cygnes, l'entrée du froid dans la salle. Plongé dans les ténèbres, il communique avec l'inconnu. L'Intruse, drame en un acte publié en 1890, forme, avec Les Aveugles et Les Sept Princesses (1891), la première partie de ce que Maeterlinck appelait sa « petite trilogie de la mort ». On trouvera ici la première édition critique de cet ensemble qui fit date dans l'histoire théâtrale.
-
Ariane et Don Juan ou Le désastre : Cette pièce explore la rencontre entre Ariane et Don Juan, où Ariane refuse de succomber aux charmes de Don Juan. L'enjeu est de convaincre Don Juan d'adopter un mode de vie post-patriarcal où le désastre est valorisé.
Le Chant du dragon : Trois personnages confrontent les réalités héritées du patriarcat et cherchent à restaurer l'amour et la fraternité dans un monde menacé par des problèmes environnementaux. Le dragon devient le symbole de la vie à protéger contre la tradition mortifère.
Les Mutants : Dans un monde post-apocalyptique, deux personnages discutent de l'émergence des Mutants, une nouvelle génération humaine destinée à briser les règles du passé. La pièce explore les possibilités d'un renouveau radical après l'abolition de l'ancien monde. -
Trois petits drames pour marionnettes : interieur, Alladine et Palomides, la mort de Tintagiles
Maurice Maeterlinck
- Espace Nord
- 19 Août 2021
- 9782875685445
Un vieillard et un étranger observent à distance le bonheur d'une famille et tardent à leur annoncer la mauvaise nouvelle dont ils sont porteurs. Alladine et Palomides tombent amoureux, enfermés dans les souterrains d'un château. Ygraine se révolte et tente de soustraire le petit Tintagiles à l'emprise d'une reine invisible. Maeterlinck publie en 1894 ces Trois petits drames pour marionnettes, triptyque qui remet génialement en cause les conventions dramatiques de son temps. Sa dramaturgie fait le lien entre l'imagination du spectateur et les zones énigmatiques que suggère le texte. Car seul ce nondit, le « drame de l'existence ellemême », importe à Maeterlinck.
-
La guerre sépare la princesse Maleine du prince Hjalmar le jour de leurs fiançailles. Enfermée dans une tour, la princesse s'échappe et rejoint le prince, au grand dam de la reine Anne. Les mauvais présages s'accumulent dans une Hollande imaginaire.
Première pièce publiée de Maeterlinck, La Princesse de Maleine est une féerie noire. Elle a ouvert le renouveau dramatique de la fin du XIXe siècle.
-
Loin de Linden met en relation deux femmes, Clairette et Eugénie, des grandsmères liées par leur enfant respectif. L'une est francophone, issue d'un milieu aisé et qui a voyagé à travers le monde, l'autre est néerlandophone vivant dans un milieu plus populaire et n'ayant jamais quitté sa petite ville. D'abord réticentes à échanger, les deux femmes tour à tour racontent leur vie et leur parcours. - Adèle raconte l'histoire d'Adèle, une jeune femme de retour sur ses terres natales, dans la maison de Maria qui l'a élevée et qui n'est plus là. Adèle est perdue, elle veut prendre la mer comme Anne Bonny, héroïne de son enfance. Mais, il y a des imprévus, entre l'enfant qui grandit dans son ventre et l'homme qui l'attend en ville, Adèle s'interroge alors sur sa vie, sa liberté et son avenir.
-
« Une variation supérieure sur l'admirable vieux mélodrame », notait Mallarmé à propos de Pelléas, dont l'intrigue, effectivement, peut sembler bien conventionnelle : le Prince Golaud recueille à l'orée d'un bois une jeune fille dont il va faire son épouse. Mais c'est du frère de Golaud, Pelléas, que Mélisande tombe amoureuse, et le destin fatal qui pèse sur les personnages les mènera inévitablement à la désolation.
La fable cependant n'est ici que prétexte à dérober au silence ses secrets. Universellement célèbres au début de ce siècle, grâce notamment à l'opéra de Debussy, les ombres de Pelléas et Mélisande nous reviennent dans leur innocence inquiète.
-
Le mariage de Mlle Beulemans
Frantz Fonson, Fernand Wicheler
- Espace Nord
- 3 Septembre 2015
- 9782875680631
Lorsqu'un jeune parisien débarque chez un brasseur bruxellois, cela perturbe quelque peu la tranquillité de l'entreprise familiale. Les patati et patata du fransquillon ne viennent en rien calmer M. Beulemans nerveux face à l'attente des résultats de l'élection du président de la société des brasseries. En revanche, Suzanneke, pourtant promise à Séraphin Meulemeester, apprécie cette nouvelle compagnie et met tout en oeuvre pour apprendre à Albert comment parler le belge. C'est d'ailleurs ainsi qu'il avoue ses sentiments : « Mademoiselle Suzanne, j'ai une boentje pour vous. » Mais avant de pouvoir s'aimer, il leurs faudra d'abord dépasser quelques obstacles : écarter Séraphin et prouver à M.
Beulemans qu'Albert peut aussi « dire son coeur droit dehors ».
-
-
La mort du docteur faust ; fastes d'enfer
Michel de Ghelderode
- Espace Nord
- Espace Nord
- 14 Janvier 2003
- 9782804017385
La mort du docteur faust (1925) remet en scène, pour mieux le démystifier, le célèbre héros de goethe qui vendit son âme au diable.
Illustrant la double identité de l'acteur à la scène et à la vie, cette tragi-comédie porte à son comble l'illusion théâtrale. au cours de la veillée funèbre de l'évêque jan in eremo, une rumeur se répand parmi les prêtres de l'épiscopat : la mort de l'évêque ne serait pas naturelle. satire d'un certain cléricalisme, fastes d'enfer pose un regard sur la mort et ses masques.
-
Né à Bruxelles, Michel de Ghelderode (1898-1962) occupe un rôle majeur dans la crise du théâtre moderne. Ses pièces, écrites dans un français truculent, mais teintées d'influences résolument flamandes, s'inscrivent dans un univers burlesque et tragique. De Ghelderode est reconnu tardivement en Belgique, alors qu'il connaît le succès de son vivant internationalement. Il a écrit de nombreuses pièces (Barabbas, La Mort du Docteur Faust, La Balade du Grand Macabre) avant de passer aux contes.
-
Bruxelles, printemps noir ; scandaleuses et de 1953
Jean-marie Piemme
- Espace Nord
- Espace Nord
- 31 Octobre 2018
- 9782875681492
-
-
Les Flaireurs (1889) est un petit drame qui marque, avec L'Intruse de Maeterlinck, le début du théâtre de l'angoisse. Une vieille femme (la Mère) est à l'agonie ; sa fille la veille ; on frappe à la porte de façon insistante. On entend des voix de plus en plus pressantes. Sans doute ces voix sont-elles celles des émissaires de la mort. Pan (1906), déclaration ouverte d'anticléricalisme, est un comédie satirique en trois actes. Sur les dunes de Flandre, dans une petite hute, Pan ressuscite. Hébergé par un berger et sa femme, il prend leur fille pour épouse, sans cérémonie. Tous vivent nus, dans un bosquet, entourés de gitans. Adulé par la foule, Pan est vu comme une menace pour les autorités qui décident que ce-dernier doit être décrété soit dieu, soit démon.
-
En ce 1er mai radieux d'une année que Ghelderode situe « au lendemain d'une guerre et à la veille d'une autre », l'anniversaire des quarante ans de Pantagleize, philosophe de profession, signera-t-il, comme l'a prédit un obscur professeur dans un horoscope, le début et la fin de son destin ? Rien n'est moins sûr. En effet, le jour même, son domestique et trois autres larrons fomentent une révolution dans un bar, sous l'oreille attentive d'un policier. Arrive alors Pantagleize qui, en déclamant sa platitude du jour : « Quelle belle journée », lance contre son gré le signal de ce grand bouleversement. La pièce se poursuit dans un branle-bas de combat effréné qui termine tragiquement par l'exécution des révolutionnaires et du personnage principal lui-même.
-
La première pièce publiée de maeterlinck est une féerie noire.
Elle ouvrit le renouveau dramatique de la fin du xixe siècle. aucune édition scientifique n'existait : la voici enfin !
Le lecteur redécouvrira de la sorte, dans une hollande imaginaire, l'histoire de la princesse maleine que la guerre sépare du prince hjalmar le jour de leurs fiançailles. enfermée dans une tour, elle s'échappe et rejoint le prince, au grand dam de la reine anne. les mauvais présages s'accumulent.
-
Dans la salle d'un vieux château, un vieillard aveugle, entouré de sa famille, devine à des signes imperceptibles l'approche de la mort qui va frapper sa fille.
Isolé par sa cécité, l'aïeul a gardé intacte son intuition. Il est le seul à pouvoir interpréter le bruissement des arbres, le silence des oiseaux et des cygnes, l'entrée du froid dans la salle. Plongé dans les ténèbres, il communique avec l'inconnu. L'Intruse, drame en un acte publié en 1890, forme avec Les Aveugles et Les Sept Princesses (1891) ce que Maeterlinck appelait sa " petite trilogie de la mort ".
On trouvera ici la première édition critique de cet ensemble qui fit date dans l'histoire théâtrale.
-
-
Tandis qu'Anna souhaite vivre avec Juan un amour éternel et s'assure de son emprise en se refusant à lui, Isabelle entend récupérer son séducteur par tous les moyens.
-
Ces trois textes mettent en exergue, chacun à des époques différentes et au travers de personnages mythiques ou historiques, une réflexion sur la place accordée à la femme dans la société et aux combats que celle-ci doit mener afin de garantir les libertés collectives et ses libertés individuelles. Au travers de figures marquantes, l'auteure éclaire les dilemmes proprement féminins qui demeurent intemporels et anhistoriques :
Ceux qui exigent de composer avec ses rôles intimes de mère et d'épouse et ses rôles sociaux - de reine, de militante, de résistante.
-
-