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Amalthee
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4couv2025 Le nid Alain Malassinet Théâtre 11 € ISBN 978-2-310-00778-8 98 pages Sous un éclairage dramatique, mais avec de forts moments d'émotion et de comédie, Le nid raconte le désarroi d'un professeur d'université qui, à la suite d'un choc, s'est retiré du monde en se réfugiant chez ses parents. Il vit dans le sous-sol de leur maison, refusant la vie normale et jouant comme un enfant.
Trois personnes vont venir le voir et tenter de le convaincre de sortir de cet état, de redevenir adulte et de retrouver sa place dans la société.
Au-delà de l'étude d'un cas particulier, cette pièce est, sur un plan plus général, à la fois un cri de douleur face au tragique de la condition humaine et une mise en garde devant la tentation de la régression infantile sous-jacente dans nos sociétés.
Né en 1947, Alain Malassinet s'est longuement consacré à faire connaître la culture cinématographique sous forme de cours - à l'Université Paris VIII - ou d'articles dans diverses publications comme Esprit, parallèlement à son métier de professeur. L'auteur, s'appuyant sur une thématique personnelle et universelle, a voulu exprimer d'une nouvelle manière, son goût profond pour les arts du spectacle.
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«?La rencontre avec cette voix avait quelque chose de l'ordre du choc frontal. Et sans airbag ! Une baffe monumentale qui te laisse le coeur ballant et les larmes aux yeux. La voix d'un moineau mort de froid sur le pavé de la rue de la joie.?».
L'homosexuel et la chanteuse. Le récit d'un petit garçon qui découvre sa sexualité en même temps qu'il rencontre une voix.
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Deux amis s'interrogent : Quelle société pour l'avenir ? L'un d'eux propose un nouveau système politique ; il a découvert dans un film de science-fiction une civilisation d'extraterrestres nommés « Homospaciens », qui a choisi d'errer dans le cosmos plutôt que de seulement quitter sa planète pour une autre.
Quelle solution choisiront les humains avant que le Soleil n'absorbe la Terre ?
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Vingt ans, et tout l'avenir devant eux ? Quand quelques jours avant le mariage, le diagnostic tombe, l'avenir, lui, prend une tout autre tournure. Des mois de traitement pour empêcher le lymphome de les vampiriser, un combat au quotidien contre un cancer qui tisse sa toile autour de leur candeur. Seul l'humour permet de survivre dans l'univers incroyable du malade à qui on demande un peu de tout et beaucoup de n'importe quoi.
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L'imposteur de Babylone ou les certitudes meurtrières
Jean Alcuin
- Amalthee
- 25 Juillet 2012
- 9782310011969
Un hôtel au bord de la Mer Rouge, des étudiants en vacances, la fête... Soudain une formidable explosion. Les six étages ne sont plus que gravats. Au sous-sol, quatre survivants sont coincés sous les décombres : un architecte Juif, un archéologue Catholique, une journaliste Agnostique et un médecin Palestinien, auteur de l'attentat. Impuissants, ils ne peuvent qu'espérer être secourus avant de mourir asphyxiés. Commence une longue attente à l'issue incertaine. Le Juif et le Palestinien s'affrontent. Comment un médecin généreux a-t-il pu se transformer en terroriste ? Comment des Juifs idéalistes ont-ils pu imposer aux Palestiniens des conditions de vie aussi exécrables ? Le Catholique et l'Agnostique, n'ont-ils pas, eux aussi, une part de responsabilité ? L'archéologue les entraîne 2 500 ans auparavant lorsque des Hébreux exilés à Babylone écrivaient les textes fondateurs de la Bible. Revivant pas à pas les drames de cette époque, ils découvrent que les convictions actuelles plongent leurs racines dans l'Histoire, une Histoire qui fut réécrite, réinterprétée et souvent manipulée. Les sauveteurs les délivreront-ils à temps ? Et demain, s'ils s'en sortent, peuvent-ils espérer vivre en paix ? Peut-on renverser les certitudes meurtrières si on ne démonte pas les mythes qui sont à leur origine ? Un hôtel au bord de la Mer Rouge, des étudiants en vacances, la fête Soudain une formidable explosion. Les six étages ne sont plus que gravats. Au sous-sol, quatre survivants sont coincés sous les décombres : un architecte Juif, un archéologue Catholique, une journaliste Agnostique et un médecin Palestinien, auteur de l'attentat. Impuissants, ils ne peuvent qu'espérer être secourus avant de mourir asphyxiés. Commence une longue attente à l'issue incertaine. Le Juif et le Palestinien s'affrontent. Comment un médecin généreux a-t-il pu se transformer en terroriste ? Comment des Juifs idéalistes ont-ils pu imposer aux Palestiniens des conditions de vie aussi exécrables ? Le Catholique et l'Agnostique, n'ont-ils pas, eux aussi, une part de responsabilité ? L'archéologue les entraîne 2 500 ans auparavant lorsque des Hébreux exilés à Babylone écrivaient les textes fondateurs de la Bible. Revivant pas à pas les drames de cette époque, ils découvrent que les convictions actuelles plongent leurs racines dans l'Histoire, une Histoire qui fut réécrite, réinterprétée et souvent manipulée. Les sauveteurs les délivreront-ils à temps ? Et demain, s'ils s'en sortent, peuvent-ils espérer vivre en paix ? Peut-on renverser les certitudes meurtrières si on ne démonte pas les mythes qui sont à leur origine ?
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Laëtitia Leroy est étudiante en lettres modernes et en théâtre à La Sorbonne-Nouvelle à Paris. Passionnée de lecture et de théâtre depuis son enfance, elle ne cesse d'écrire, touchant à tous les genres. À vingt ans, elle publie son premier livre, Mademoiselle Allégore, qui ne contient pas moins de huit péchés. Il se permet même de tuer l'Amour, c'est dire ! Est-ce de l'impudence ? Peut-être, mais ce texte sait que sans vous, il ne serait rien ; c'est que, malgré sa folie, il est un brin réaliste.
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La Traviata de Verdi est l'histoire d'un putsch musical lors d'un concert classique.
Famille je vous hais nous parle d'une famille nombreuse dont chacun des membres exprime un talent artistique poussé à l'extrême, et qui se retrouve dans leur maison de campagne pour un week-end. L'ainé des enfants, le seul à n'avoir aucune fibre artistique connue, veut présenter sa future femme à cette maisonnée étrange. La jeune fille sera-t-elle effrayée, ou est-ce la famille qui le sera ?
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Stade olympique de Berlin, 9 juillet 2006, 22 h 30. C'est la 107e minute d'un match tendu, rugueux, haché entre les deux finalistes. L'une des rencontres les moins inspirées de l'équipe de France depuis le début de cette Coupe du monde de football. Et l'adversaire italien n'est pas plus brillant. Dans la fournaise de cette nuit d'été, des millions de supporteurs sur les nerfs attendent, retenant leur souffle. Soudain, le capitaine des « Bleus », Zinedine Zidane, se jette sur le défenseur Marco Materazzi et, d'un coup de boule magistral, l'envoie brouter la pelouse. La suite est connue, trop connue ! Enfin, c'est ce que l'on croit, car c'est ici que commence Coup de boule à Berlin (le dernier carton rouge). L'insaisissable dribbleur, le feu follet, Zidane le flamboyant a été interné. Entre quatre murs nus, comme un assassin, un aliéné, un fou. Car il faut être fou, pensent « les maîtres », pour avoir mis un terme brutal et stupide à une carrière aussi prestigieuse. Fou, plus encore, pour garder secret ce que le « renard italien » lui a dit. Et ce secret, c'est ce que « les maîtres » veulent savoir. Et ils feront tout pour cela. Professeur de philosophie, metteur en scène, directeur de la Compagnie Théâtre du Confluent, Gérard Thirioux est l'auteur de nombreuses adaptations pour le théâtre. L'auteur a publié Sartre on jazz, Éditions Amalthée, en 2004.
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Qui a dit que Charlemagne adorait l'école ? Saviez-vous que Charles VII aimait jouer à cache-cache ou que Napoléon, puissant empereur, se sentait « tout petit » face à sa mamma ? Yvain, ménestrel en habit vert, n'a qu'une passion : rapporter par écrit toutes les scènes historiques à laquelle il assiste. On peut dire qu'il en a vu, car il a voyagé à travers les siècles sans prendre une ride ! Ce gentil troubadour nous conduit, à sa guise, sur le trône de Charlemagne, nous tend la couronne d'Anne de Bretagne et nous fait parcourir les ors de Versailles. Laissons-nous faire, il est bon, quelquefois, d'entrer par une porte dérobée, pour découvrir la petite histoire de notre grande Histoire de France.
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Conte de fées : Pièce de théâtre à dix personnages. L'histoire se déroule dans la chambre de la Belle au Bois Dormant. Une narratrice, assise à un bureau, devant un grand livre à la couverture toute blanche commence à lire l'histoire d'Aurore. Celle-ci est allongée sur sont lit et s'ennuie profondément. La narratrice n'a pas le temps de poursuivre, qu'Aurore exige du changement concernant son conte. Cendrillon arrive épuisée par le ménage et souhaite elle aussi du changement dans son histoire. Clochette arrive à son tour et va passer son temps à râler. Superman n'a plus de pouvoirs et voudrait changer de costume ainsi que Spiderman. Robin des bois se sent mal aimé. Pocahontas désire que son peuple ne souffre plus à cause de l'homme blanc. Le Petit Chaperon Rouge ne veut plus que les enfants fassent des cauchemars à cause des conte de fées et Blanche Neige trouve que son conte est le plus cruel des contes de fées. Tous les personnages revendiquent du changement, mais la narratrice leur fait prendre conscience, que les conte de fées, sont importants pour les enfants.
Terre en danger : Pièce de théâtre à huit personnages. Deux anges, Angélus 1er et Chérubin Ailé, sont envoyés sur Terre pour une mission bien spéciale. Ils doivent apprendre aux humains à mieux protéger et respecter leur planète. Les deux anges débarquent sur une plage de galets en Normandie, recouverte de détritus, où ils vont faire la connaissance de six fillettes, toutes concernées par l'environnement.
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Pouah ! Qu'est-ce que ça pue, ici !
Hé ! Après quelques années, le déodorant vous lâche.
Tu sais, dans ce caveau, il va falloir oublier les parfums, les bijoux, les fourrures qui constituaient ta seule raison de vivre. Le champagne, les paillettes, tout ça, c'est fini ! Et la seule fête, ici, c'est la toussaint.
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En se levant ce matin-là pour se rendre à un rendez-vous pour un entretien d'embauche, Paty Lafont, trente ans, mère au foyer et mariée qui trouvait sa vie bien monotone, décide de changer cela en cherchant du travail.
Elle ne se doute pas qu'un simple rendez-vous va changer sa vie jusque-là bien réglée et ennuyeuse. Celle-ci va se transformer en une histoire pleine de dangers, de rebondissements, d'imprévus et d'amour... Peut-être pourrait-elle regretter d'avoir voulu changer son quotidien ?
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Sophie Casas, seize ans, poursuit ses études littéraires dans un lycée privé de la banlieue parisienne. En proie au harcèlement du professeur d'histoire-géographie, qui voudrait bien établir, entre elle et lui, une relation autre que celle de professeur à élève, elle décide de se venger. En prenant fait et cause pour son amie Suzie, elle aussi victime des agissements pour le moins ambigus du professeur. Une vengeance qui aboutit pour les deux jeunes filles à l'exclusion pure et simple de l'établissement. Et leur avenir, de quoi sera-t-il fait ? Première oeuvre théâtrale de Claire Azelar, étudiante en philosophie et passionnée d'écriture, Interdit Fantasmatique pose le problème épineux des relations entre professeurs et élèves.nquête policière et psychologique à couper le souffle !
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Face à son miroir, Rémi, 50 ans, fait le bilan de sa vie. « Mais je suis beau ! Mais je suis beau ! Mais je suis très très beau ! Mais pourquoi elle me dit que je ne suis pas beau ? Mais c'est une teigne cette femme ! Moi, je me trouve très beau. Rémi, tu es très beau ! On me disait quand j'étais jeune que j'avais des mains de pianiste. Je n'ai jamais joué de piano, mais j'ai des mains de pianiste. Élégantes. Des mains aristocratiques. Elle me dit que mes mains sont pataudes. Elle me dit que ce sont des mains de jardinier. Elle ne les a même pas regardées. Cinq doigts magnifiques. Un pouce légèrement décalé. Un petit doigt juste un peu plus court. A peine velue ! Juste ce qu'il faut. Elle me trouve gros. Mais gros comment ? Ah ! Ah ! Ah ! Moi, je trouve que je suis bien ! »
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Le po(é)mmier qui conte et raconte ; étrange cohabitation
Sandrine Tarbagaye
- Amalthee
- 6 Mai 2013
- 9782310014106
Le po(é)mmier qui conte et raconte Un matin, un petit troll nommé Atoll se réveille très loin de son île, sans trop comprendre ce qu'il lui arrive. Il est dans la Forêt Magique, un lieu secret sur la Terre où se réunissent annuellement les grands chamans pour résoudre les problèmes de l'univers. Mais cette fois-ci, le Grand Chaman doit faire appel à un petit troll en raison de la pureté de son coeur, car la situation est gravissime : la Terre s'est arrêtée de tourner ! Sur les conseils du Grand chef, avec l'aide de quatre esprits et surtout grâce au Po(è)mmier, l'arbre originel aux immenses pouvoirs, il va donc parcourir le monde pour réunir tous les éléments servant à accomplir cette fameuse mission. Bon voyage... Étrange cohabitation Jean, Marie et leurs deux enfants, Ivan et Hélina, héritent d'une maison ancestrale à la campagne. Chaleureusement accueillis par leur nouveau voisin, M. Antoine Lupin, ils sont tous les quatre ravis de prendre possession des lieux. Or la maison est déjà habitée... par deux petits fantômes : Emilien et Léonie. Au début, les farces des deux esprits laissent présager une cohabitation difficile, mais les vivants et les revenants vont finalement nouer une solide relation de complicité et d'amitié. Les liens ainsi créés permettront d'ailleurs de libérer les deux fantômes de leur malédiction et aussi de résoudre un vol chez les vivants.
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C'est dans l'histoire ancienne qui a marqué sa région natale et qui a agité le destin de l'antique Gaule qu'il a trouvé l'inspiration de cette pièce en alexandrins. L'épopée du plus célèbre chef gaulois, l'Arverne Vercingétorix, symbole de résistance à l'oppression et héros du patriotisme français, mêle l'histoire à l'Histoire et la trahison aux amours et amitiés. Cette pièce vous portera au coeur de la complexe structure hiérarchique gauloise et de la non moins complexe Guerre des Gaules qui fit de César l'Imperator craint et respecté que tout le monde connaît. Vous y vivrez l'amertume de la défaite comme l'exaltation de la victoire.
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Années 1960. Paula est une petite vieille qui vit seule dans son appartement madrilène. Depuis la mort de son mari, elle ne sort plus de chez elle. Pour remédier à sa solitude, elle loue des visiteurs pour qu'on lui tienne compagnie. Marcelino, son neveu, et Mathilde, la mère de ce dernier, vivent dans un village de la province de Cuenca. Au début de l'été, tous deux sont venus rendre visite à Paula. Le timide Marcelino souhaiterait rencontrer une femme avec qui il pourrait se marier. Peu après son arrivée à Madrid, il tombe amoureux de Maribelle, une jolie femme dont la tenue vestimentaire est assez voyante. Alors que Marcelino croit avoir entamé une relation avec elle, Mathilde et Paula se montrent impatientes de la rencontrer. Il n'a alors pas d'autre solution que de la leur présenter. Mais Maribelle ne se considère pas comme la fiancée de Marcelino et trouve même Mathilde et Paula un peu bizarres. Marcelino, lui, pense déjà à épouser Maribelle. À ses yeux, c'est la femme de ses rêves. Mais tout le monde ignore que celle-ci exerce la profession de prostituée..
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Rue Émilie n'est autre qu'un double monologue, celui des mots, celui de la musique. Deux monologues qui se croisent, s'interpellent, se répondent, se cherchent. Chacun à son rythme. Parfois ils vibrent à l'unisson. Ailleurs ils s'éloignent l'un de l'autre.
D'un côté, la voix du fils, lyrique et passionnée. Il exprime son amour et son admiration pour ses parents, ses déceptions amoureuses, son échec dans la vie de couple, ses adieux à celui qu'il a admiré et à celle qu'il a tant aimée. Puis son départ proche et son bilan.
La voix de la mère lui répond en écho. Elle est plus terre à terre. Elle raconte les choses de la vie, son mari, son désir pour un autre homme, sa trahison, son fils dont elle a fait son complice, ses enfants, sa dépendance, sa liberté, ses lectures. Enfin sa vie de femme.
Dans cette pièce, il n'y a pas de situations cocasses, de portes qui claquent, de grandes envolées de danse. Il n'y a pas de sang, de meurtre ou de vengeance. Il y a essentiellement des mots, part intrinsèque de notre humanité.
« Une pièce intimiste, tendre, pleine d'amour et d'espérance. »
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« J'ai connu les galoches !... luisantes sur sol glacé... J'ai connu les chemins d'écoliers, à pied sur routes non goudronnées, j'ai connu le poêle à bois qui séchait les gants mouillés et que le maître garnissait pour que ses élèves puissent au chaud bien travailler et parfois même à midi déjeuner ! » Édouard et Félicie, deux retraités, se retrouvent à attendre tous deux leurs petits-enfants à la sortie des classes. Ils se mettent alors à discuter de tout et de rien, du temps qui passe et de l'école des années cinquante. Sur fond de réflexions osées et parfois même caricaturales, leur discours aborde les grands thèmes de notre société, le temps d'un instant, d'une discussion.
Aimée Darcy se définit comme militante pour un « Être parlant » du berceau au cercueil.
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Grace comprendra le coût de son arrogance à tes yeux.
(Zita consulte la vie d'Aurore au travers de la flamme d'une bougie.) Prends garde, Narcisse, même si, ici, tu n'es redevable qu'en argent.
Je vois qu'Aurore est une bonne jeune personne !
Je lui vois aussi dans la vie une bonne étoile !
Avec l'âge, elle sera mon dernier sacrifice.
Persistes-tu ? » Face au retour de la fille illégitime de son mari, née d'une relation adultère, et rejetant toute forme de filiation, Narcisse est prête à tout pour détruire ce lien affectif naissant, même à user de pratiques magico-religieuses controversées...
