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David Foenkinos
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Ce roman retrace la vie de Charlotte Salomon, artiste peintre morte à vingt-six ans alors qu'elle était enceinte. Après une enfance à Berlin marquée par une tragédie familiale, Charlotte est exclue progressivement par les nazis de toutes les sphères de la société allemande. Elle vit une passion amoureuse fondatrice, avant de devoir tout quitter pour se réfugier en France. Exilée, elle entreprend la composition d'une oeuvre picturale autobiographique d'une modernité fascinante. Se sachant en danger, elle confie ses dessins à son médecin en lui disant : «C'est toute ma vie.» Portrait saisissant d'une femme exceptionnelle, évocation d'un destin tragique, Charlotte est aussi le récit d'une quête. Celle d'un écrivain hanté par une artiste, et qui part à sa recherche.
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«En 1999 débutait le casting pour trouver le jeune garçon qui allait interpréter Harry Potter et qui, par la même occasion, deviendrait mondialement célèbre. Des centaines d'acteurs furent auditionnés. Finalement, il n'en resta plus que deux. Ce roman raconte l'histoire de celui qui n'a pas été choisi.»
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«François pensa : si elle commande un déca, je me lève et je m'en vais. C'est la boisson la moins conviviale qui soit. Un thé, ce n'est guère mieux. On sent qu'on va passer des dimanches après-midi à regarder la télévision. Ou pire : chez les beaux-parents. Finalement, il se dit qu'un jus ça serait bien. Oui, un jus, c'est sympathique. C'est convivial et pas trop agressif. On sent la fille douce et équilibrée. Mais quel jus ? Mieux vaut esquiver les grands classiques : évitons la pomme ou l'orange, trop vu. Il faut être un tout petit peu original, sans être toutefois excentrique. La papaye ou la goyave, ça fait peur. Le jus d'abricot, ça serait parfait. Si elle choisit ça, je l'épouse... - Je vais prendre un jus... Un jus d'abricot, je crois, répondit Nathalie. Il la regarda comme si elle était une effraction de la réalité.» La délicatesse a obtenu dix prix littéraires et a été traduit dans plus de quinze langues.
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«Jamais aucune époque n'a autant été marquée par le désir de changer de vie. Nous voulons tous, à un moment de notre existence, être un autre.»
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Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d'Orsay. Personne ne comprend cette surprenante reconversion de la part d'un spécialiste de Modigliani. Qu'a-t-il vécu pour fuir ainsi ? Mathilde, la DRH du musée, est décidée à percer son secret.
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«C'est ainsi que les choses ont commencé. Je me suis vraiment dit : tu descends dans la rue, tu abordes la première personne que tu vois, et elle sera le sujet de ton livre.» En mal d'inspiration, un écrivain renommé laisse le hasard lui dicter le sujet de son nouveau roman. Il fait ainsi la rencontre des membres de la famille Martin, dont chacun espère devenir un personnage du livre. Mais la présence de l'écrivain dans leur quotidien perturbe le cours des choses. Lui qui s'imaginait maître du jeu se retrouve empêtré dans les fils qu'il croyait tirer...
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En Bretagne, un bibliothécaire recueille tous les livres refusés par les éditeurs. Parmi ces manuscrits, une jeune éditrice découvre une pépite écrite par un certain Henri Pick. Elle part à sa recherche et apprend qu'il est mort deux ans auparavant. Mais selon sa veuve, il n'a jamais écrit autre chose que des listes de courses... Aurait-il eu une vie secrète ? Auréolé de ce mystère, le livre de Pick aura des conséquences étonnantes sur le monde littéraire.
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«L'amour passionnel vous pousse à emmitoufler le moindre de vos gestes, à anticiper de manière excessive les réactions de l'autre, à vous perdre finalement dans le dédale de l'anarchie du coeur.» Du jour au lendemain, Étienne annonce à Mathilde qu'il la quitte. L'univers de la jeune femme s'effondre. Dévastée, elle est recueillie par sa soeur Agathe, qui lui ouvre les portes du petit appartement qu'elle occupe avec son mari et leur fille. Dans ce huis clos familial étouffant, Mathilde révèle peu à peu une nouvelle personnalité, inattendue et glaçante. Il suffirait d'un rien pour que tout bascule...
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Nouvelle édition en 2018
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« - C'est pour quoi ? me demanda le caissier. - Il y a huit ans, j'hésitais devant toutes les barres chocolatées. Je ne savais laquelle choisir. Et vous m'avez conseillé des Twix, parce qu'ils sont deux. - Ah bon ? Il y a huit ans ? Je ne m'en souviens pas. Vous voulez quoi ? Un autre Twix ? - Non. C'est juste que j'ai des problèmes en ce moment dans mon couple. Alors, je voulais avoir votre avis. Je me suis dit que vous deviez être aussi doué avec les femmes.»
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Nouvelle édition en 2018
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Nouvelle édition en 2018
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« Il y a des romans d'amour qui sont déjà des films d'amour. Mais Truffaut n'est plus là pourles tourner. [...] Alors mieux vaut s'en tenir aux romans, aux rares romans d'aujourd'hui qui parlent vraiment d'amour. L'amour que nous avons vécu, l'amour que nous allons vivre, c'est sûr, l'amour que nous rêvons de vivre. Merci, Foenkinos.»Erik Orsenna, de l'Académie française« Jubilatoire ! David Foenkinos, auteur farfelu et facétieux, ne déroge pas à sa réputation. [...] Pour cette réjouissante épopée, il se plaît dans la comédie sociale et distille ses réjouissantes sentences en dissertant une fois encore sur l'avenir de la vie conjugale.»Nathalie Vallez - Elle
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À cinquante ans, Bernard est un homme comblé, menant une vie tranquille qu'il pense devoir durer toujours. Évidemment rien ne se passe comme prévu, et son monde s'écroule. Il faut croire que les revers appellent d'autres revers. Délaissé par tous, le voilà contraint à retrouver sa chambre d'adolescent chez ses parents qui se seraient bien passés, eux, de son retour. Peut-il recommencer sa vie quand chacun voit en lui un homme fini ? Notre Bernard va trouver d'innombrables ressources pour affronter les épreuves et autres absurdités d'un monde en crise dans lequel il n'a plus de repères. Il y a toujours une seconde chance cachée quelque part.
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Le plan, c'était d'attacher les flics avec leurs propres menottes. Mais ces deux-là n'ont pas de menottes. Les menottes, c'est le coeur du drame. Plus tard, elle dira que si les flics avaient eu des menottes, rien de tout ce qui va suivre ne serait arrivé. D.F.Histoire d'un amour hors du commun, évocation de la jeunesse révoltée, ce roman est librement inspiré de l'histoire de deux jeunes amants meurtriers. Un « fait divers » qui, en octobre 1994, bouleversa la France.Les pages consacrées au jour tragique de la fusillade sont admirables de perfection formelle. C'est l'oeuvre d'un romancier chimiquement pur. Sébastien Lapaque, Le Figaro littéraire.
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En 1975, John Lennon décide de mettre un terme à sa carrière.
L'occasion pour lui, à travers des séances de psychanalyse, de revenir sur sa vie : les atrocités de son enfance, l'incroyable célébrité, la folie d'une époque, les tentatives incessantes de trouver le bien-être et la paix intérieure. Et cette passion exceptionnelle avec Yoko Ono, cet amour hors normes devenu depuis un véritable mythe romantique.
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Quelques heures après la naissance de leur fils, Pierre annonce à Nathalie qu'il a invité Michel, son meilleur ami, à la maternité. Le moment semble mal choisi, d'autant plus que cet ami a décidé de venir avec Sophie, sa nouvelle fiancée. Une visite qui tourne vite au règlement de comptes avant de bouleverser la vie de tous les personnages.
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Foenkinos ; coffret folio ; le potentiel érotique de ma femme ; la délicatesse ; nos séparations
David Foenkinos
- Gallimard
- Folio
- 7 Mai 2012
- 9782070447480
Découvrez David Foenkinos - Coffret 3 volumes : Le potentiel érotique de ma femme ; Nos séparations ; La délicatesse, le livre de David Foenkinos
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Les rencontres amoureuses sur Internet... c'est la fin des agences matrimoniales ! Michel et Sylvie sont deux employés de ces sociétés en voie de disparition. Célibataires, ils mettent leur coeur à aider les autres. Jusqu'à s'oublier eux-mêmes. Comme plus personne ne vient dans l'agence, il serait peut-être temps qu'ils s'occupent enfin d'eux ? Dans cette première comédie de David Foenkinos, on retrouve son univers plein de fantaisie et d'humour. Réflexions sur le couple, sur la solitude, sur le divorce, sur l'angoisse du bonheur (et oui ça existe !), et sur l'art de danser subitement le tango.
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Inversion de l'idiotie - de l'influence de deux polonais
David Foenkinos
- Gallimard
- 9 Janvier 2002
- 9782070763986
Vous tenez entre vos mains l'histoire de Conrad, faux neveu de Milan Kundera mais véritable simple d'esprit. Alors qu'il sera victime d'une honteuse machination, vous assisterez à ce qu'on appelle communément un retournement de situation. Vous devrez alors éviter de vous attendrir sur le sort d'un artiste piteux, et vous inquiéter des véritables intentions de deux Polonais. Vous apprendrez par ailleurs qu'il ne faut jamais acheter des sardines millésimées, mais ça vous le saviez déjà, non ?Inversion de l'idiotie est un roman à la vivacité rare, entre drame sentimental et bouffonnerie surréaliste. Les personnages y flottent dans les sphères extrêmes qui permettent au plus idiot d'entre eux de devenir un nouveau Proust. Ou l'inverse.
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«J'avais du mal à écrire ; je tournais en rond. Mes personnages me procuraient un vertige d'ennui. J'ai pensé que n'importe quel récit réel aurait plus d'intérêt. Je pouvais descendre dans la rue, arrêter la première personne venue, lui demander de m'o rir quelques éléments biographiques, et j'étais à peu près certain que cela me motiverait davantage qu'une nouvelle invention. C'est ainsi que les choses ont commencé. Je me suis vraiment dit : tu descends dans la rue, tu abordes la première personne que tu vois, et elle sera le sujet de ton livre.»Avec un grand talent et une certaine espièglerie, Louis Arène donne vie à la galerie de personnages qui anime cette chronique du quotidien, à la fois drôle, tendre et mélancolique.
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Bernard ne sait pas très bien comment c'est arrivé mais, à cinquante ans, le voilà obligé de retourner vivre chez ses parents.
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«Mon psychanalyste, constatant la vanité de ses efforts pour m'aider à mettre de l'ordre dans ma vie sentimentale, fit l'inventaire des causes de mes ruptures : Mathilde n'aimait pas les ciels ocre de Basse-Normandie (je maintiens, c'est rédhibitoire), Joséphine n'avait pas lu Virgile (je ne pouvais pas me commettre avec une telle fille, c'eût été cautionner), Christine buvait son café sans sucre (manque de goût évident), Ghislaine avait lu Virgile (je passais pour un idiot quand elle m'en parlait), et Catherine s'appelait Catherine (sans commentaires).»
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«Je ne sais pas si certains d'entre vous se souviennent de moi. Il y a quelques années, j'ai publié Le potentiel érotique de ma femme. Ce roman, traduit dans de nombreuses langues, avait obtenu un réel succès. J'étais alors dans la promesse. Pourquoi les choses ont-elles si mal tourné? Depuis ce succès qui s'efface des mémoires, j'ai publié quatre autres romans et tous sont passés inaperçus. J'ai tenté d'analyser les raisons de mes échecs, mais il est impossible de comprendre pourquoi l'on devient invisible. Serais-je devenu médiocre? Suis-je trop allé chez le coiffeur? Pourtant, je dois absolument m'accrocher:bientôt, une fabuleuse idée de roman va surgir en moi. Bientôt, je serai à nouveau propulsé parmi les auteurs vivants. Enfin, on va se souvenir de moi.»