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Anne Fine
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Je lance à la mère d'Ellie mon regard le plus noir. Car, non contente de me prendre en photo sous mon plus mauvais profil, elle décide maintenant d'utiliser mon portrait, oui vous avez bien entendu ! mon portrait, à sa propre gloire. Je serai sa première oeuvre dans son tout nouveau cours d'arts plastiques. Mais que croit-elle donc ? Je ne vais pas me laisser ridiculiser aussi facilement. D'autant que le tableau est accroché juste au-dessus du canapé, là où tout le monde peut l'admirer. Et là où je pourrais l'atteindre...
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Vieille menteuse
Anne Fine
- Éditions de l'Olivier
- Bibliotheque De L'olivier
- 7 Juin 2024
- 9782823621808
« - Oh bon Dieu ! soupira-t-il. Faites que je ne devienne jamais vieux. Faites que je ne sois jamais comme ça avec mes enfants. Après quoi il retourna dans la remise jeter un sort à sa mère et un autre, pour faire bonne mesure, à son hortensia préféré. »
Timide, maladroit, soumis à une mère tyrannique, Colin mène l'existence terne d'un vieux garçon.
Extérieurement.
Car Colin a une vie intérieure autrement mouvementée. En secret, il s'absente pour rejoindre sa fiancée, une fille de papier nommée Suzie qui l'attend dans la remise. Et puis, il y a Tamina, cette enfant de trois ans qui le subjugue, le fascine, et finalement le sauve.
Sous le regard impitoyable d'Anne Fine, la chronique familiale prend des allures de guerre civile. -
Cette année, Miranda Hilliard a besoin de quelqu'un pour s'occuper de ses trois enfants, Lydia, Christopher et Natalie, et de la maison. « Pourquoi pas moi ? » propose Daniel, son ex-mari, un acteur au chômage. « Pas question », réplique Miranda. Elle veut une personne de confiance, quelqu'un de solide, avec des principes et sans aucune fantaisie. Tout le contraire, pense-t-elle, de Daniel. Alors arrive Madame Doubtfire. Une vraie perle. Du moins en apparence. Car un père acteur peut être prêt à tout, et même à se déguiser en gouvernante poudrée pour être avec ses enfants. Mais comment va-t-il faire pour n'éveiller les soupçons ni de ses enfants ni de Miranda ?
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Minna a une mère quelque peu excentrique qui se teint les cheveux en bleu et se promène en pantalon bouffant à pois roses. En plus, elle passe ses journées devant la télévision en mangeant des chips avec son petit ami. Pourtant, Minna parvient à s'occuper de tout sans être vraiment malheureuse. Le thème de la famille éclatée et des enfants livrés à eux-mêmes abordé avec humour.
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Tout le monde est d'accord pour dire que les adolescents sont des gens infréquentables, et Will le premier. Depuis quelques temps, sa s½ur Estelle fait régner une ambiance explosive au 27, avenue des Métairies. Elle est aussi aimable qu'un bouledogue en proie à une rage de dents et s'habille comme la fille de Dracula. Côté parents ? Que peut-on penser d'une mère qui rentre chez elle par la fenêtre du salon pour éviter de parler à sa fille ? Et d'un père qui crie « Alerte ! » et disparaît sous sa couette quand sa fille - la même - pousse la porte de sa chambre ? La crise d'adolescence serait-elle contagieuse ? Cela signifierait alors que la guerre ne fait que commencer au 27, avenue des Métairies.
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Il revient de loin, Edward. Jusqu'à l'âge de 7 ans, il a vécu enfermé dans un appartement avec sa mère, sous l'emprise d'un homme alcoolique et violent. Lorsqu'il est délivré de son bourreau, il peut enfin découvrir le monde qui l'entoure. Mais est-il libre pour de bon ? Recueilli par les services sociaux, puis ballotté de famille d'accueil en famille d'adoption, Edward se construit en tentant d'oublier son passé. Mais au fil des années, ce passé le suit pas à pas et ne cesse de se rappeler à lui. La force, le courage et la volonté lui suffiront-ils pour lui échapper ?
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Poor Ellie is horrified when Tuffy drags a dead bird into the house. Then a mouse. But Tuffy can't understand what all the fuss is about.
Who on earth will be the next victim to arrive through the cat-flap? Can soft-hearted Ellie manage to get her beloved pet to change his wild, wild ways before he ends up in even deeper trouble?
The hilarious antics of Tuffy and his family are told by the killer cat himself.
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Comment ouvrir un magnifique carnet pour commencer à écrire dedans, quand on n'a pas la moindre idée de ce qu'on pense? Je n'étais même pas sûre de ce que je ressentais. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, assise devant la fenêtre. En tout cas, j'avais la main toute moite à force de tenir mon stylo à pointe fine au-dessus de l'épais papier blanc crème de la première page. J'aurais pu commencer par des phrases qui sonnaient plutôt bien, comme « Ma mère est la personne la plus égoïste du monde. » ou « Ma mère est une imbécile. » ou encore « Ma mère a gâché ma vie, celle de mon père et - j'espère, oh vraiment, oui, j'espère - la sienne. » Mais aucune de ces phrases n'était tout à fait juste.
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Le chat assassin, le retour et la vengeance
Anne Fine
- L'École des loisirs
- 20 Octobre 2021
- 9782211315852
Chat assassin, le retour : La vie de chat peut parfois être magique. Ellie et ses parents partent une semaine en vacances. Je vais pouvoir me dorer au soleil sur les parterres de fleurs, sans leurs réprimandes et leurs cajoleries. Magique, je vous dis. A un détail près : ils m'ont trouvé un chat-sitter, le pasteur Barnham, un vrai tortionnaire. Il m'impressionne assez dans son genre. Entre nous, c'est une furieuse amitié.
Je crois que je vais le quitter pour une perle, Mélanie. Elle m'aime parce que ma fourrure est douce. Je suis un chat, non ? Enfin, j'étais un chat. Car, quand elle me mettra un bonnet en dentelle et commencera à m'appeler Janet, cela sera le début des vrais ennuis. //La vengeance du chat assassin : Je lance à la mère d'Ellie mon regard le plus noir. Car, non contente de me prendre en photo sous mon plus mauvais profil, elle décide maintenant d'utiliser mon portrait, oui vous avez bien entendu ! mon portrait, à sa propre gloire.
Je serai sa première oeuvre dans son tout nouveau cours d'arts plastiques. Mais que croit-elle donc ? Je ne vais pas me laisser ridiculiser aussi facilement. D'autant que le tableau est accroché juste au-dessus du canapé, là où tout le monde peut l'admirer. Et là où je pourrais l'atteindre... Texte lu par David Jisse.
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Comment ouvrir un magnifique carnet pour commencer à écrire dedans, quand on n'a pas la moindre idée de ce qu'on pense ? Je n'étais même pas sûre de ce que je ressentais. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, assise devant la fenêtre. En tout cas, j'avais la main toute moite à force de tenir mon stylo à pointe fine au-dessus de l'épais papier blanc crème de la première page. J'aurais pu commencer par des phrases qui sonnaient plutôt bien, comme "Ma mère est la personne la plus égoïste du monde." ou "Ma mère est une imbécile."ou encore "Ma mère a gâché ma vie, celle de mon père et -j'espère, oh vraiment oui, j'espère - la sienne." Mais aucune de ces phrases n'était tout à fait juste.
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bonny vient de déménager.
en attendant de s'installer, sa mère veut l'inscrire à un cours passionnant, pour l'occuper pendant l'été. "je travaille le bois" commence plus tard. "pratique parentale" est destiné aux plus grandes. reste " charme académie ". la mort dans l'âme, bonny débarque au milieu d'un flot de petites filles (top) modèles, prêtes à tout pour gagner la titre de la reine suprême à la fin de la journée. elles se décolorent les coudes au jus de citron.
elles se bavent des méchancetés à la figure. elles sont obsédées par leur ligne. elles sont horribles. une seule solution pour échapper à cet enfer sucré et scintillant: se faire passer pour la nouvelle assistante de maura, l'éclairagiste, et se réfugier toute la journée à la régie. mais justement, ce samedi-là, maura est absente.
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À l'entrée du bateau, le contrôleur a dit quelque chose comme « Grine douskha sabédou ».
Mais comment se douter que cela signifi ait « Rien avant samedi ».
Quand Harry et son Oncle Tristram comprennent le sens de cette phrase, il est trop tard. Une fois sur l'île ils sont coupés du monde pour une durée incompressible de sept jours.
Belle de Jour, la petite amie de Tristram qui les accueille sur place, est très « nature ». Chez elle, pas d'ordinateur, ni de télé. Pas même une radio. On s'harmonise avec l'univers et on entreprend de longues promenades à la recherche d'anges éventuels.
Heureusement, Belle de Jour est très jolie, et la vie sur cette île où tout le monde porte la barbe, même les femmes, n'est pas si ennuyeuse que prévu. Harry se dit qu'il aurait pu plus mal tomber. En attendant la fi n des travaux et le ferry du retour, c'est terrine d'ortie et beignets de pissenlits au menu, sauf le jour de la fête de l'île où, paraît-il, on mange toutes sortes de choses (pâtés en croûtes, hot-dogs, steaks, pizzas.) à condition qu'elles soient piquées sur des brochettes.
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stuart terence oliver, dit stol ou stolly, est un garçon unique.
pour le dire, les adultes trouvent des mots variés qui traduisent mal leur embarras. vivant. bavard. différent.
imaginatif. menteur. mythomane. un peu fantasque. complètement cinoque. ian, qui est peut-être le seul au monde à le connaître
vraiment, est devenu son ami à la vie, à la mort. il adore ses inventions, le registre des paris, le club des enfants uniques, les statistiques étonnantes. il admire sa capacité à dire les émotions et les angoisses les plus enfouies, à discuter avec dieu et les esprits, à inventer des histoires horribles qui soulagent, à révéler à tous la vérité sur l'école.
il a besoin de sa franchise à toute épreuve. stol a déjà eu plein d'accidents. le dernier l'a laissé sur un lit d'hôpital, avec la clavicule, deux bras, six côtes, une jambe et une cheville cassés. et la tête ailleurs. a son chevet, ian se souvient de tout. il décide d'écrire la biographie de stol. et, non content d'être son meilleur ami, il veut devenir son ange gardien.
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Quand imogène, la nouvelle, est arrivée dans la classe et que le maître a demandé un volontaire pour s'occuper d'elle la première semaine, tout le monde a levé le doigt.
Tout le monde sauf mélanie. parce que mélanie préfère les livres aux êtres humains. pourtant, c'est tombé sur elle. le maître la trouvait justement un peu solitaire sur sa chaise, un peu coupée du monde, avec ses romans plein la tête. manque de chance, imogène, elle, déteste les livres. du moins c'est ce qu'elle dit. un jour qu'elles rangent la bibliothèque ensemble, mélanie voit imogène toucher un livre, puis sursauter et le lâcher comme s'il l'avait mordue avant de rougir comme une pivoine.
Alors mélanie, qui trouve déjà que c'est grave de ne pas aimer lire, comprend que le problème d'imogène est bien plus grave. et qu'elle est peut-être capable de l'aider à le résoudre. à coups d'imagination. car, comme elle dit, à force de lire, on prend l'habitude des choses étranges et des gens bizarroïdes.
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Tuffy knows what he likes. And he doesn't like the 'art' that Ellie's mum brings home from her new classes. So what's a cat to do? A few scratches here just happen to shred a painting. A nudge there somehow slips a vase off a shelf. Dad hope a horribly lumpy clay pot will be next, but Tuffy's having none of it.
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Un chat qui ne mâche pas ses mots, ça n'existe pas ! Pourtant, le héros de ce livre est bel et bien un chat. Il s'appelle Tuffy. Dans son journal de bord, il raconte la difficulté qu'il a d'être confronté à la plus totale incompréhension de ses maîtres. Surtout lorsqu'il ramène à la maison des animaux morts. Tuffy essaie bien de s'en empêcher... Mais aller contre nature relève d'un exploit qui n'est pas à la portée de n'importe quel chat, même de bonne volonté. Un beau jour, Tuffy est accusé du meurtre de Thumper, le lapin des voisins. Les mésaventures commencent pour Tuffy, mais pas pour ses lecteurs, qui auront, eux, le plaisir de rire à chacune des pages de ce petit roman plein de rythme et d'humour. Un petit livre à portée de toutes les mains. De 6 à 9 ans
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Tuffy can't wait for Ellie and the family to go away on holiday. A week of freedom lies ahead - if only he can get away from the catsitter. But everything goes wrong when Tuffy is catapulted into the arms of horrid, sweet-as-pie Melanie. Dressed up in baby-clothes and pampered like a pussycat, has the killer cat really gone for good?
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Winner of the Carnegie Medal 1990 and "The Guardian" Children's Fiction Award 1990, this book is about Kitty, who hates her mother's boyfriend. Yet when he leaves, she finds she misses him. Anne Fine has also written "Madame Doubtfire", short-listed for the Young Observer Teenage Fiction Prize.
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Liddy, stella, bridie et heather sont quatre soeurs aux caractères très différents qui continuent cependant d'entretenir l'esprit de famille et forment un véritable clan, soudé et fort.
Jusqu'au jour oú liddy, divorcée avec deux jeunes enfants, décide de se remarier. une accusation de pédophilie à l'égard de son futur époux, un ragot invérifiable et invérifié, circule bientôt parmi les trois autres soeurs. doivent-elles en avertir liddy ? comment vont-elles s'y prendre ? a partir de cette " sale rumeur " qui vient tout bouleverser, anne fine démonte à sa manière cruelle, tendre et drôle - les rouages de la vie familiale.
Avec une impertinence jubilatoire, elle renvoie chaque personnage à son inconséquence et confronte sa vérité à celle de l'autre.
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Ian laidlaw est un homme au visage atrocement mutilé.
C'est aussi un professeur de science politique qui fait autorité, et un vieux garçon maniaque, isolé du monde par son infirmité. voilà les apparences. car il se pourrait que, derrière ce personnage inoffensif, se cache un homme dominateur qu'anime une passion meurtrière.
Poussée par la curiosité, une de ses étudiantes, alicia, se laisse prendre au piège. quand elle découvrira la vérité, il sera trop tard pour éviter le pire.
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So go on, ask me. 'Dear, dear Tuffy. Why was your Christmas so horrible?' Well. I couldn't climb the tree.
I couldn't touch the dangly decorations.
And Ellie made me part of her sing-along Christmas performance.
Horrible, horrible, horrible!
But I showed them. I was Tuffy the Acting Cat, superstar. How was I supposed to know things would get so . . . messy?